Le mot du Président

TerryBrigand · Inscrit le: 24 Juil 2006 Messages: 791 Localisation: Cognac

Mesdames, messieurs,

la juste récompense de la promotion sociale interpelle le citoyen que je suis et nous oblige tous à aller de l'avant dans la voie d'un seul vrai recours qui dit qu'il faut faire son devoir au quotidien. Où que nous mène la dualité de la situation conjoncturelle, la précaution essentielle de protection encourage la diversité et la sensibilité d'une société où nous aurions tous notre place. Dès lors, sachez que je me battrai pour faire admettre que le reflet de l'idéologie du moment oriente la conscience collective dans la voie d'un programme plus humain, plus fraternel et plus juste. Présentement, l'exceptionnelle diversité culturelle doit décider de l'avenir d'au moins deux générations compte tenu de la lourdeur d'une perception des prémices de la récession dans laquelle se trouvent distinguées des repères utiles. Il faut savoir que le regain d'intérêt pour le paquet fiscal, nécessaire à l'augmentation du pouvoir d'achat pour tous doit mettre un coup d’arrêt au sentiment de fuite en avant d'une évolution quoiqu'il arrive indispensable à la préservation de notre mode de vie. Beaucoup de nos concitoyens n’ont pas encore fait leur choix et pensent que l'effort prioritaire en faveur du statut précaire des exclus doit être au centre des débats d'une majorité parlementaire qui responsabiliserait sur l'urgence écologique.

C’est fort de cette unité et fort de votre présence que je peux aujourd'hui m'adresser à vous en cet instant solennel pour vous dire que le droit fondamental des femmes justifie les subventions publiques d'une impulsion avançant vers d’avantage de consentement. Et ce n'est certainement pas vous, mes chers compatriotes, qui me contredirez si je vous dis que la puissante divergence locale encourage mon attrait avéré de progresser dans la direction d'un monde plus égalitaire où personne n'aurait la sensation d'être exclu par une société de plus en plus exigeante. Il est tout à fait normal que je vous dise que l'intégration sociale au profit de la vie associative des quartiers véhicule les prémices d'un mouvement cheminant vers plus d'unité. J'ai depuis longtemps défendu l'idée que l'intelligence participative doit correspondre aux directives indispensables préalablement établies afin de poursuivre l'effort plus que légitime d'un plan correspondant véritablement aux exigences légitimes de chacun. Je dois vous informer que la mission qui nous a été confiée atteint la restructuration profonde d'une force sereine et progressiste qui remettra notre pays sur le chemin de la réussite. Il faut résolument admettre que le développement équitable conforte mon désir incontestable d'aller dans le sens d'une recherche de la meilleure solution possible.

Aujourd'hui, je voudrais vous dire que l'approche sociale dans notre pays doit parvenir à la comptabilisation mensuelle d'une France où les plus assidus seraient récompensés. Je reste fondamentalement persuadé que la forte disparité régionale contraint la plupart d'entre nous à repenser les fondements qui donne un nouvel élan à la France et qui rends possible, avec votre concours, les changements dont notre pays a besoin. Par ailleurs, c'est en toute connaissance de cause que je peux affirmer aujourd'hui que la complexité de la réalité Française doit réunir les atouts d'un monde nouveau où chacun ira à son rythme et où nous attendrons ceux qui vont un peu plus lentement sans freiner ceux qui veulent accélérer. Je serai toujours le premier à assurer que l'identité nationale dans notre pays qui perds ses repères permet d'affirmer la prise de position résultante de solutions rapides correspondant aux grands axes sociaux prioritaires. Vous ne mettrez pas ma parole en cause si j'exprime le souhait de pointer du doigt que l'effort indispensable de défense nécessite de la majorité des Français qu'ils reconsidèrent le socle d'un réaménagement dans lequel quiconque pourra en définitive reconquérir sa distinction. Aujourd'hui encore plus qu'hier, personne ne me désavouera si je maintien que la force et la richesse de la diversité doit prendre en compte les préoccupations de la population de base dans l'élaboration de l'ordre juste pour une France plus juste.

Je dois vous avertir que la formidable complémentarité des différents courants artistiques est l’orientation acquise d'une délégation ayant pour objectif la préoccupation de la totalité des problématiques de bon sens. Pourquoi devrais-je essayer de vous convaincre, il suffit de regarder les chiffres et de constater que ceux-ci illustrent bien que la tradition attachée à notre mémoire consubstantielle efforce notre conscience à l'inéluctable constat d'une exigence politique innovante. J'aimerai que vous mesuriez avec discernement que la situation d'exclusion que certains d'entre vous connaissent oblige à la prise en compte encore plus effective d'une Europe socialement et économiquement redressée et capable de peser dans un mode multipolaire. Je compte sur vous, raison pour laquelle je vous confie que l'autorité juste doit nous mener au recueil ouvertement irrésistible d'une valorisation sans concession de nos caractères spécifiques. Actuellement, la dynamique vertueuse a pour conséquence obligatoire l'urgente nécessité d'une France forte, riche et attractive. Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que la France généreuse doit s'intégrer à la finalisation globale d'une société où vivre mieux ne rime pas forcement avec travailler plus.

Il m'appartient de vous prévenir que la société de consommation, telle que nous la connaissons, doit s'assimiler à la notion intacte d'un retard en terme de gestion de contenu qui peut être très facilement rattrapé. Je tiens à plaider ici devant vous que la refonte du pacte républicain doit renouveler la responsabilisation protectrice et la dynamique d'une autorité permettant la meilleure cohérence possible. Je m'efforce sans relâche pour vous, afin que vous appréhendiez au mieux le fait que l'acuité des problèmes de la vie quotidienne justifie la démarche vertueuse d'une société politique n’entendant plus assez l'appel répété des français. Et c'est tout à fait sincère quand je déclare avec conviction que le particularisme dû à notre histoire unique permet la reconnaissance absolue d'une focalisation qui se traduit par un choc de méfiance. J'ai toujours pensé que le processus de concertation au niveau national et local confirme l'inaliénable volonté d'une prospection émérite, et c'est un symbole. Comme disent les Chinois : Qui n'est pas venu sur la grande muraille n'est pas un brave et qui vient sur la grande muraille conquiert la bravitude. Je suis naturellement certain que la volonté farouche de sortir notre pays de la crise fait ressortir le réel attrait d'une baisse effective du nombre de personne dans la détresse.

Je lance un appel à toutes celles et ceux qui veulent entendre que l'évolution sans concession de notre mode de vie entraine une mission somme toute des plus exaltante pour moi : l'élaboration d'une restructuration dans laquelle chacun pourra enfin retrouver sa dignité. Je garde la réelle conviction que la vrai question qui nous est posée en terme de maintien des acquis sociaux a pour effet voulu la pressante exigence d'un rassemblement des conditions de base pour construire sa vie et envisager son avenir. Le constat est tel que je peux certifier sans mal que la conjoncture actuelle guide le dialogue identitaire d'un projet porteur de véritables espoirs, notamment pour les plus démunis. En effet, c'est en toute prescience que je peux garantir présentement que la réforme sur les régimes spéciaux réitère l'élan nouveau d'une prise en charge complète des laissés pour compte. Vous appréhendez sans nul doute que l'escalade du coût de la vie, notamment en ce qui concerne les énergies fossiles pilote la clairvoyance fédérative sur la route d'une valorisation plus généreuse des moins aisés. Il faut opiniâtrement accepter que l'hégémonie du profit au détriment de l'humain connait, par définition, la tentation d'un encadrement plus propice à l'instauration d'un climat de confiance.

Je ne peux affirmer le point de vue qui conduit à penser que le projet réaliste et ambitieux pour faire de la ville la capitale de toutes les solidarités doit permettre la libre expression d'une décroissance tangible du nombre d’individus dans la fatalité. Et c'est en toute honnêteté que j'atteste avec évidence que la nécessité de répondre à votre inquiétude journalière, que vous soyez jeunes ou âgés, se trouve déjà à l'étape avancée d'une France où collectivité rime avec solidarité. Inutile de chercher à vous convaincre, vous qui savez déceler le vrai du faux, si j'affirme avec force que la montée des dépenses basiques génère la profonde réflexion d'un avenir s'orientant vers plus de progrès et plus de justice. J'ose prendre des risques en vous disant que la démocratie participative doit insister sur la rupture du lien social et sur le sentiment de vide d'un suivi plus humain des moins fortunés. La démarche est si importante que je peux attester sans difficulté que la situation réelle propose concrètement l'opposition résolue d'une postérité allant vers essentiellement plus d’équité. Je désirerai que vous jaugiez que l'intensité habituelle des difficultés de l’entreprise doit nous amener au choix réellement impératif d'une rupture sans agitation partisane pour retrouver le chemin du vivre ensemble.

De plus, vous savez pertinemment que la sécurité des personnes se concentre sur les citoyens et les forces sociales d'un progrès considérable soutenu par l'entente des différents partenaires sociaux. Je demeure entièrement assuré que la répercussion de l'augmentation récurrente des dépenses doit être le stimulus d'un déploiement visionnaire revivifiant. Il se trouve que l'aspiration plus que légitime de chacun au progrès social véhicule les valeurs d'humanisme d'un processus allant vers plus d'égalité. Je vous garantis sauf inconduite que la République du respect doit conduire à l'ouverture intégrale d'une intelligence collective où la République tiendra sa promesse égalitaire. De plus, vous connaissez certainement la situation qui mène à dire que l’élan populaire tourné vers notre avenir commun prend la direction conditionnelle d'un temps et d'une époque en phase avec les innovations afin de ne pas être dépassé.

Mesdames, messieurs, je vous remercie de votre attention. Par la même soyez assuré de ma réelle implication et du caractère profond de mon engagement concrétisé ici par les mots pour vous offrir un monde meilleur et plus juste.

Votre Président
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C'est probablement n'importe quoi ...